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Bienvenue sur Fast Sebil’

Ce site rend hommage à un pilote exceptionnel, généreux et amical, parti le 14 Mars 2019.

Si vous sentez que vous pouvez faire des grandes choses, foncez !

Croyez en vous et entourez-vous de gens compétents et passionnés.

Car seul, on n’est rien.

fast sebil’

BERTRAND SEBILEAU dit  » Fast Sebil’ « :

  • Naissance le 10 septembre 1960 à La Roche-sur-Yon (Vendée) dans la clinique de son grand-père chirurgien Louis Sebileau
  • Enfance à Rueil-Malmaison (Hauts de Seine) puis Vernouillet (Yvelines)
  • Novembre 1981 – Octobre 1982 : raid en Afrique avec Remy Dantec et Georges Laporte, écriture de ce carnet de voyage
  • 1984 : Première compétition à moto sur Yamaha 350 RDLC
  • 1986 : Création du Team « Motorhino » avec Stéphane Bovin (Promo 125) -Patrick Doumas (Bataille des Twins) et les 2 frères Bertrand & Vincent Sebileau.
  • 1988 : Journaliste Essayeur à Moto Journal
  • 1997 : Champion de France Supersport
  • 1998 : Vainqueur des 24 Heures du Mans avec Kawasaki ; 3e du championnat du monde d’Endurance Kawasaki ; vice-champion de France Superbike ; 3e du championnat de France Supersport; 8 victoires : 5 en Superbike, 2 en Supersport, 1 en Endurance; 9 pôles position: 7 en Superbike et 2 en Supersport
  • 1999 : Vainqueur des 24 Heures du Mans avec Kawasaki ; 5e du championnat de France Superbike
  • 2000 : 2e du Bol d’or avec Kawasaki ; pole position et record du tour aux 24 Heures du Mans ; 3e du championnat de France Superbike
  • 2001 : 4e du Bol d’or ; vice-champion de France Superbike (Kawasaki) ; dispute les 24 Heures du Mans au guidon d’une Kawasaki ZX12-R (abandon)
  • 2002 : 4e du Bol d’or
  • 2003 : Vainqueur de la Super Roadster Cup
  • 2004 : Masters of Endurance et championnat d’Allemagne SuperBike
  • 13 septembre 2004 : Grave accident de moto, Bertrand passera de longs mois à l’hôpital et écrira à tous ceux qui l’ont soutenu : « Depuis, je me rétablis doucement, lentement, et je réalise progressivement qu’il y avait un avant et qu’il y aura un après. »
  • 14 mars 2019 :  décès à Saint Germain en Laye à l’âge de 58 ans : Hommage de Pierre Orluc et Hommage de Michel Hautbois
  • 14 mars 2020 : inhumation dans la tombe familiale du Père Lachaise
  • 29 août 2020 : dans l’espace Anthony Delhalle dédié aux 24h Moto a été inaugurée juste avant le départ à huis clos de la course, une exposition permanente présentant, entre autres, les casques, trophées et combinaison de Bertrand Sebileau, double vainqueur des 24h du Mans moto en 1998 et 1999 et la Kawasaki n°11 avec laquelle FastSebil a gagné les 24h en 1999
  • Janvier 2022 à Mars 2023 : A l’aube de sa disparition le 14 mars 2019, Bertrand a commencé à écrire ses mémoires. Moto Journal, à l’occasion de ses 50 ans fin 2021, a décidé de lui rendre hommage en publiant sa Motobiographie suivie de son récit de l’African Raid Gai. Le 25ème et ultime épisode vient d’être publié dans le MJ du 9 mars 2023 en attendant la suite que Fast Sebil n’a pas eu le temps d’écrire mais que ceux qui l’ont connu pourront sans doute compléter.

62 thoughts on “Bienvenue sur Fast Sebil’

  1. Je ne vais pas étaler ma vie sur la page de Sebil mais je pense qu’il a marqué plus que ma génération! Pour ma part cela vient des 24H 1999 Je n’avais que 16 ans à l’époque et ma passion de la moto était naissante. Ce Mans là je l’ai vécu devant M6. Je n’ai pas raté un seul point course et les ai enregistré sur VHS (j’ai toujours cette K7 mais la bande est usée à un point inimaginable à force de me la repasser en boucle). J’ai une image qui me reste en tête, celle de Bertrand passant sous le pneu Dunlop en wheeling avant de plonger dans La Chapelle à chaque tour 20 min avant la fin de la course (Christian Bourgeois devait fumer dans le box 😅) Cette image m’a tellement marqué que dès lors je n’ai eu qu’une idée en tête : avoir un jour la même moto que Sebil. Ce fut chose faite pour mes 30 ans, ma femme de l’époque me l’a offerte après quelques économies (depuis j’ai changé de femmes mais pas de moto 😂) A la suite de ces 24H je me suis mis à acheter régulièrement MJ puis toutes les semaines jusqu’à m’abonner découvrant ainsi la personnalité de Sebil (notamment le numéro consacré à la vitesse où il était en couv avec le compteur dans les lunettes) Plus tard le moto tour et ses récits eurent lieu me permettant de découvrir en lui non pas un pilote mais un MOTARD. L’idée même que je me faisais du MOTARD lorsque j’avais justement mes 16 ans. Ce qui m’a marqué ce n’est pas la personne mais sa manière de vivre la moto. Alors certes c’est un peu résumé sa vie a peu de chose mais c’est la vision que j’avais de lui à travers mon petit prisme (j’aurais aimé le rencontrer pour pouvoir discuter avec lui de la moto mais aussi d’autres choses sans jouer les groupies) Ils sont peu nombreux à m’avoir marqué à ce point : MIG (que j’ai eu la chance de rencontrer lors d’une soirée à Chimay) et Joey Dunlop en font partis! Des gars qui vivaient leur passion à fond sans chercher à être idolâtrer. Vivre l’instant et jouir de la vie.
    ✌️ Guillaume

    1. Merci Guillaume, vous avez en quelques mots tout à fait décrit ce qu’était Bertrand et ce qu’il représentait pour beaucoup d’entre nous !

  2. La claque.
    Motard depuis toujours, Mr fast sebil a fait parti du décor de ma jeunesse. Je n’ai pas connu l’homme, pas suivi son palmarès de prés, mais il était là, comme tout ce qui a construit ma culture moto.
    Aujourd’hui, je me sens stupide de découvrir si tardivement son décès, lors d’une de ces recherches que le net rend instantanée, avec pour point de départ le classique « qu’est-il devenu? ».
    Je me sens stupide, mais bien plus encore, je suis triste…

    1. Merci pour votre témoignage.
      Grâce à ce site que vous venez de consulter ainsi qu’aux publications des épisodes de sa motobiographie dans chaque numéro de Moto Journal depuis janvier dernier et l’expo des motos au musée de l’ACO du Mans, Bertrand dit Fast Sebil reste présent parmi nous et nous sommes heureux de perpétuer ainsi sa mémoire….

  3. je viens d’apprendre la nouvelle de sa mort ,un peu plus d’un an après son départ.je viens de lacher quelques larmes que je ne peux pas contenir ,je pensais qu’il travaillait chez kawa sans faire parler de lui ,ce qui était l’image que j’avais de lui ,un mec simple aux idées claires.c’est en lisant tous les témoignages ici et ailleurs que j’ai compris pourquoi ça me touchait autant ,je suis comme beaucoup ,lecteur assidû de MJ depuis 85 ,ce gars la m’enchantait de ses commentaires pertinents ,de sa façon de faire comprendre les choses ,de son humour permanent qui transpirait à chaque page ,depuis qu’il était rédacteur ,je guettais chaque article tous les jeudis,pour moi il y avait son avis avant tout (et pourtant que de lames chez MJ ,bar2 ,Ivan Magot ,Lacombe et un paquet d’autres ) et quand il gagnait des courses ,c’était un peu comme si une de tes connaissances gagnait ,tu deviens intime avec quelqu’un qui te parle toutes les semaines …
    j’étais extasié qu’un mec gagne des courses et reparte chez lui en moto avec la coupe derrière la selle ,qui ferait ça ,même à l’époque ? son accident m’avait glacé le sang ,mais la ,je dois admettre que j’ai du mal ,je pense à sa famille et à ses amis proches et tous les inconnus comme moi pensent à eux ,merci pour tout Fast Sebil …

    1. Merci ….Votre témoignage et votre émotion nous touchent beaucoup !
      En quelques lignes vous avez parfaitement résumé qui était Bertrand et le vide qu’il laisse auprès de tous ceux qui l’ont connu et apprécié.

      Depuis mars 2019, nous nous efforçons de faire vivre sa mémoire via ce site qui lui est dédié et aussi via l’exposition permanente du nouvel espace moto « Anthony » Delhalle » qui vient d’ouvrir au musée des 24h du Mans et qui a été inauguré aujourd’hui même en comité très restreint à cause du Covid 19.
      Plusieurs de ses casques, ses trophées, sa combinaison et la mythique Kawasaki N°11 y sont exposés …afin que Fast Sebil continue à être parmi nous !

  4. Bertrand m’a fait rêver durant de nombreuses années dans mon enfance, avec ses essais fous dans MJ.
    Je l’ai admiré et envié au 24H du Mans et en Superbike et Supersport. Il m’a donné l’envie de rouler sur piste.
    Je n’ai pas eu le plaisir de le connaître mais il avait l’air d’être une bonne personne.
    J’ai appris avec une grande tristesse son décès. C’est un pan de ma vie qui s’est éteint avec lui…
    Je ne doute pas qu’au moment où j’écris ces lignes il se tire des bourres incroyables au paradis…

    1. Merci pour cet hommage. Il est prévu qu’un stand avec des objets personnels concernant les 24h du Mans qu’il a gagné deux fois soit ouvert au Musée de l’ACO au Mans, prochainement. Le site en fera l’annonce.

  5. salut fastsebil , prends soin de nous là-haut …

    je me souviens de toi sur la zx-12r d’endurance … c’était la belle époque …

  6. Fast Bertrand.
    Un jour, en vacances en Corrèze, Il m’avait fait part, après une sortie VTT, de ses craintes d’une chute éventuelle à vélo. Il ne plaisantait pas. Je ne l’avais pas cru. Lui qui, sur sa moto, dans sa combi épaisse, bien posé sur son monstre au gonflage ad hoc, se sentait en confiance, devenait invincible, un chevalier sans peur qui fonçait sous la pluie en coupant les virages…

    Bertrand, je l’ai connu longtemps
    Mais peu.
    C’était un taiseux
    Qui devançait les mots
    (D’un ou deux dixièmes)
    Qui ne quittait son casque
    Que pour afficher
    Un mystérieux sourire.

    Bertrand, je l’ai connu
    Rêveur
    Devant des figurines, des jouets
    D’enfance
    Sous clef dans des vitrines
    Ou à 200 Km/h

    On ne le voyait pas
    On entendait seulement
    Un son
    Grossissant, s’éloignant
    Dans la nuit du Mans.
    Son cœur peut être.

  7. Je ne suis pas motard.
    Bertrand était un copain, un ami.
    J’habitais alors à la campagne, près de la forêt de Tronçais, dans l’Allier. Il avait pris l’habitude de venir me voir quand il courait à Magny-Cours. Nous nous offrions parfois une partie de pêche.
    Je me souviens. Septembre 2004. Il nous a dépassé et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire ce n’était même plus un petit point à l’horizon.
    Le surlendemain, j’appris le terrible accident. Je le revis à l’hôpital, puis quelques fois chez lui.
    Nous ne sommes plus jamais retournés à la pêche.

  8. J’étais tellement accro de lui, qu’un jour de 1993 en lisant MJ, j’ai craqué, j’ai foncé chez le Kawa du coin et je suis revenu avec un ZZR et deux FM force One et ma femme l’a bien pris.
    Fast sebil’ avait réalisé un miracle, un des plus beaux jours de ma vie, un ZZR 1100 et un FM sur la tête, le grand pied. Imaginez pour qui je me prenais sur la route.
    D’ailleurs, le dernier MJ que j’ai acheté, c’est il y a un an.
    Je l’aimais et pourtant je ne le connaissais pas.
    J’espère qu’il a rejoint ses potes au Valhalla des motards. Snif.

  9. Années 80 ,premiers tours de roues en motos , et MJ ! Souvenirs de Bertrand sur la V max Egli ,à poil ! Le délire ! La couv avec une haya full et le 311 affiché sur la visière, le weeling avec Laurent Cochet ,le Coch, que de souvenirs. La tristesse de son accident, puis de son décès. J’ai grandi avec ses articles et ses résultats.
    Repose en paix Fast Sebil et éclate toi encore et toujours.

  10. J’ai eu la chance de le côtoyer en promosport en 84. Quelqu’un d’exceptionnel mais très abordable avec son frère. Il a eu une carrière très belle et a apporté à MJ son expérience et son intelligence.

  11. J’étais lecteur de moto journal dans les années 80 90 et je me souviens en particulier d’un essai de fast Sebil sur une 500 ROC Yamaha en compagnie de Christian Sarron !! aux anges qu’il était de pouvoir rouler sur cette moto, toute une époque !!

  12. je peux pas dire que je le connaissais…mais c est l’un des premiers nom qui m a marqué quand j’ai commencé à lire des revues moto.
    En moto non plus j’y connaissais rien.. Par contre j’ai vite compris que ce gars là etait pas comme les autres.
    Dans sa façon d’écrire, de décrire et de faire passer ce petit quelque chose que seul ont les vrais passionnés.
    Ce que j’ai aussi compris, c’est que Fast Sebil c’etait pas non un journaliste comme les autres, il etait visiblement rapide et respecté par les autres.
    Me restera ce nom et ce casque iconique qui me faisait lire en premier cet article là 😉
    Je l’ai pas connu, mais il a surement contribué à un peu de mon education de motard debutant et il m’a montré ce que c’etait qu’un mec passionné, la passion ça brule.. elle l’a rattrapé visiblement.

  13. Toute une époque… Bertrand était un super pilote, il écrivait bien et nous transmettait tous les jeudi sa passion pour la moto. On s’attachait à lui sans le connaître et son absence laisse un grand vide. Une part de lui restera en nous pour toujours.

  14. Ah, mon Sebileau préféré !! Tous les jeudi, j’attendais mon Moto Journal pour vite lire ses articles qui me faisaient me sentir comme avec un pote motard en train de discutailler le bout de gras autour d’une bière. Il a bercé ma vie de motard démarrée en 1989. Son casque emblématique permettait de le reconnaître en piste !!! Un sacré bonhomme !!! Grand V mon ami, j’espère que tu t’arsouille bien là haut avec les légendes.

  15. J’ai connu Bertrand comme beaucoup de monde au travers de ses reportages dans Moto Journal auquel j’étais abonné pendant de nombreuses années. Un style et une plume de haute volée géniaux !
    Ensuite permis en poche et travaillant dans le réseau Kawasaki j’ai eu l’immense plaisir de le rencontrer sur plusieurs endurances avec le team Kawa et de fêter ses victoires avec les verts. Quelques belles courses aussi à Nogaro prêt de chez moi
    Je garde précieusement une photo dédicacée de lui sur une Ducati #64 sur le Paul Ricard. Je me souviendrai de sa joie, sa gentillesse, sa pugnacité, il m’a « accompagné » dans la première partie de ma vie de motard et m’a fait partagé sa passion
    Merci Bertrand et veille sur nous de là haut !

  16. Bertrand était un super mec un gentlemen , je lui ai souvent demandé des conseil d’avant course et il n’était pas avare de sympathie et de bienveillance , bien au contraire , son portrait me remue , repose en paix l’ami 😉

  17. fast sebil je t’ai cotoyé furtivement quand tu faisais les promos avec ton frère tu avais déjà un sacré coup de guidon tu étais avec vincent tu ns manques bcp j’ai tjrs une pensée pour toi quand je lis MJ

  18. Je n’ai jamais eu le plaisir de le croiser ou l’honneur de le connaître (oui, quand on rencontre un gars qui a gagné les 24H du Mans, c’est un honneur !) mais à travers tous ses essais dans MJ, il m’a accompagné dans les années 90, ou je découvrais les gros cubes. Ses wheelings dans moto-canard sont toujours sur mes étagères. Quand il donnait un avis sur une sportive, lui , on l’écoutait ! Salut l’artiste, et merci pour tout; la vie c’est un passage, pas une destination, à bientôt Bertrand.

  19. Je n’ai jamais eu le plaisir de le croiser ou l’honneur de le connaître (oui quand on rencontre un gars qui a gagné les 24H du Mans, c’est un honneur !) mais à travers tous ses essais dans MJ, il m’a accompagné dans les années 90, ou je découvrais les gros cubes. Ses wheelings dans moto-canard sont toujours sur mes étagères. Quand il donnait un avis sur une sportive, lui , on l’écoutait ! Salut l’artiste, et merci pour tout; la vie c’est un passage, pas une destination, à bientôt Bertrand.

  20. quel pilote d’exception, poster de la zx7r n°11 qui ornait ma chambre pendant de nombreuses années avec Fast Sébil au guidon, superbe bonhomme parti trop tôt.
    Sébastien, admirateur et passionné de moto

  21. Merci Fast Sebil pour tout le plaisir que tu nous as procuré.
    Il y a des pilotes que nous ne pouvons pas oublier et tu en fais partie.
    Là où tu es , nous penserons toujours à toi.

      1. Je ne le connaissais pas personnellement. C e tait un vrai motard passionné, un super pilote, un top journaliste et un mec bien. Il a fait rêver plein de monde. MERCI.

  22. Bertrand m’a accompagné sans le savoir durant toute ma vie de motard : lorsque, adolescent puis jeune adulte, je dévorais les MJ en attendant de pouvoir chevaucher à mon tour l’objet de tous les plaisirs; puis lorsque, atteint du virus de la piste, je l’avais en semaine comme moniteur aux Journées Kawasaki (ah, la courbe Dunlop à fond côte à côte avec Fast Sebil’ ! ah, chanter « allo aman bobo » avec Bertrand lors de soirée finale !), puis le week-end en star sur les championnats de Superbike ou d’Endurance sur sa ZX7-RR; et enfin lorsque, quand je passais voir les amis chez Kawasaki Motors France, je croisais son regard, toujours aussi magnifique quoique bien plus triste depuis son terrible accident… Bertrand tu resteras pour moi un des co-instigateurs, avec Christophe Guyot et Rachel Nicotte, de ma vie de motard mais aussi d’homme, et, un jour que j’espère lointain, tu me paieras cher d’être parti comme ça… Amitiés

    1. Vous aussi, vous avez accompagné Bertrand tout au long de son parcours : MJ, formateur aux journées Kawasaki, championnats Superbike et Endurance et votre témoîgnage nous touche beaucoup.

  23. Tu as fais rêver une génération de quinqua et de sexagénaire avec tes essais dans le MJ de la Grande Epoque.
    Ton palmarès et ton charisme ont fait de toi un vrai Monsieur de la Moto.
    Tu resteras à jamais dans nos mémoires et dans nos cœurs pour les gens qui ont eu la chance de te croiser.
    Tchao & merci Bertrand

    1. même ressenti ! il transpirait la moto et dans ses articles on y était vraiment, et avec ce ton de la déconnade et de mauvaise foi à la Joe bar team !

    2. Merci de ce témoignage d’un pilote de sa génération qui appréciait les essais dans MJ que Bertrand réalisait avec passion en compagnie de ses collègues.
      « Un vrai Monsieur de la Moto » : c’est un des plus beaux compliments que vous puissiez faire à mon frère Bertrand !

  24. Un repère pour tous les motards quinquas & sexas qui ont connu les années Fast Débil de Moto Journal.
    Tu resteras un Grand Monsieur pour toutes les personnes qui t’ont cotoyées de près ou de loin avec un charisme et un palmarès digne des Grands.
    Repose en Paix; dans nos coeurs tu demeures.

    KIKI6369

  25. Je me souviens, beaucoup plus jeune, en 2001, l’avoir vu partir du circuit des 24h, au Mans, avec un zx12r bordeaux après l’abandon en course et faire signe aux personnes qui le reconnaissait…

    Bon vent à lui

    1. ….et Bertrand partait aussi avec sa coupe de vainqueur des 24h du Mans sanglée à l’arrière de sa moto après sa victoire en 98 ou 99…c’était Fast Sebil !

      1. Vraiment tu es parti trop tôt et tu n’as jamais été remplacé.
        C’était plus pareil MJa après toi.
        Un super mec et un motard avec les tripes.

  26. Franck
    Je devorais ses articles dans MJ quand j’étais à l’internat au lycée.
    Je ne suis pas replica mais si y a un casque que je porterais, c’est bien celui de FastSebil.
    Existe t-il des répliques d’ailleurs.
    Tchao à toi

  27. Un journaliste qui a beaucoup compté pour moi et à qui je voulais secrètement un peu ressembler. J’ai un jour eu la chance de le croiser au retour d’une présentation presse. Je ne me souviens absolument plus de quelle moto il s’agissait par contre je me rappelle encore très bien de ces quelques instants passés en sa compagnie à l’aéroport. Il voyageait «léger» tout de cuir vêtu avec juste un petit sac à dos et déjà son célèbre casque. Plus tard il a réalisé la carrière que l’on connait et nous nous sommes de nouveaux croisés à Francorchamps lorsqu’il était pilote officiel pour Kawasaki. Il restera pour moi à jamais le top comme journaliste moto. Merci Bertrand Sebileau …

  28. Je me souviens de cette époque bénie, quand je dévorais MJ tous les jeudis, c’est là qu’a grandit ma passion pour la moto. J’aimais particulièrement les essais de Bertrand… Un souvenir ému d’avoir relu de nombreuses fois celui des 10000 kms en Super-Ténéré 750, dans lequel chaque essayeur abattait 1000 bornes dans la journée ( Christian Lacombe, Fred Tran-Duc, Bar 2, et bien-sur Bertrand Sebileau… ) . Salut et bonne route là haut….

  29. Je me souviens de cette époque bénie, quand je dévorais MJ tous les jeudis, c’est là qu’a grandit ma passion pour la moto. J’aimais particulièrement les essais de Bertrand… Un souvenir ému d’avoir relu de nombreuses fois celui des 10000 kms en Super-Ténéré 750, dans lequel chaque essayeur abattait 1000 bornes dans la journée ( Christian Lacombe, Fred Tran-Duc, Bar 2, et bien-sur Bertrand Sebileau… ) . Salut et bonne route là haut….

  30. Si je roule à deux roues aujourd’hui c’est en partie grâce à toi , à tes méfaits dans MJ notament ( je garderai toujours en mémoir cet estival en HD… merci à toi et Gazzz

  31. Quand j’étais ado j’achetais le Moto Journal en cachète, mes parents était pas chaud pour la moto.
    C’est là que je l’ai connu, au travers d’un essai 600 sport transformé en course de côte improvisé pour l’occasion. Il « transpirait » la moto et communiquais sa passion au fil du texte.
    J’ai suivi ses aventures en compétition et il m’a fait basculer dans la famille Kawasaki (je n’ai eu que des Kawasaki depuis que je roule).
    Cela peu paraître prétentieux, mais il y a un peu de Sebil à chaque fois que je met du gaz.
    Tu représenteras toujours pour moi une époque qui sentait bon le cuir, la mauvaise foi et la liberté.
    Merci msieur.

  32. J’étais abonné à MJ et je me souviens du N° où en couverture il y avait la Honda 900 CBR ; cette moto là m’a marqué ; c’est comme écouter la mélodie de la Suzuki 500 RG ; la Gamma avec ses 04 pots qui chantent ……. Nostalgique je suis … Bon ride Fast Sebil ; tu resteras un VRAI Motard ; un VRAI passionné ; ciao rider ; BIZ … OLIVER.

    1. Comme lui vous êtes sensible aux mélodies du monde de la moto…grâce à la connaissance qu’il avait de la musique propre à chaque moto et à chaque circuit, Bertrand n’avait pas besoin de bien voir sous la pluie ou la nuit contrairement à ses concurrents en compétition…

  33. Bonsoir
    Sa plume, je la dévorais dans MJ, il avait de belles tournures et savait transmettre sa passion du deux roues. Si j’ai encore bcp de plaisir à rouler en moto aujourd’hui, c’est aussi grâce à lui.

  34. Triste de ne pas l’avoir revu pour faire une photo chez MJ…

    Je ne pourrais pas venir le 14 🙁

    Au revoir Bertrand……. A bientôt…….

  35. Un mec bien ce Bertrand.
    Je ne le connaissais pas personnellement mais je suivais son parcours et quelque chose de particulier chez lui me faisait l’apprécier.
    Nous avons le même âge et je vais toujours chaque année aux 24, au BO et au motogp…

    1. Bertrand était un pilote, essayeur et journaliste particulièrement talentueux doublé d’un gentleman, fort sympathique et d’une grande simplicité.
      Son beau souvenir et les très bons moments de Carole de Magny-Cours et du Mans, y compris nos conversations, restent à jamais gravés dans ma mémoire.

      Francis CASALIS,
      Motoclub de Lyon et du Rhône, officiel de la FFM.

      1. Votre témoignage nous touche infiniment car vous avez en quelques mots résumé les qualités de Bertrand.
        Il nous manque beaucoup comme à chacun de ceux qui l’ont connu et apprécié et ce site, ainsi que plusieurs autres projets en cours, vont perpétuer sa mémoire et continueront à le faire vivre à travers tous les passionnés de moto comme lui !

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